Le public parisien se presse à la Bastille pour découvrir « Heimweh » du jeune Gabriel Sparti. Jamais on n’a mieux décrit le « verrouillage » psychologique des Suisses. Féroce.
Le lancinant compte à rebours des choix de formation professionnelle vient de s’ouvrir, mobilisant les parents, les frères et sœurs, et l’inscrit stressé qui se retrouve au cœur de tous les désarrois. Etions-nous autrefois aussi épouvantés ?
Pendant ces fêtes 2024 et toute l'année, bien obligée de constater que ce sont les seniors qui montrent l'exemple de l'originalité vestimentaire, maquillage, et... allure. Pas question de virer passe-muraille parce qu'on a franchi les 50, 60 ou 70.
Les jeunes qui ne font plus l’amour sont six fois plus nombreux aujourd’hui qu’il y a seulement 8 ans. Que se passe-t-il ? Ils semblent souffrir d’une perte d’expression spontanée. Et d’une tristesse qui ne trouve pas les mots.
On est bien loin des « Nuits de Chine ». Pour tenter d’encourager leurs citoyens à faire des enfants, la Chine, les deux Corée et le Japon appliquent de drôles de méthodes.
Ses dirigeants effraient le monde et son peuple subjugue. Face à l'oppression sanglante, les Iraniens restent fidèles à leurs vérités : intelligence, courage, hédonisme. Entre la chanteuse Parastoo Ahmadi et les cuisiniers Rochane et Fereydoune, l'Iran jette ses feux qui réchauffent
Pour résumer, les fêtes, c'est pas toujours la fête. Alors cette année encore, armons-nous de patience, d'énergie et de hauteur philosophique.
Ces temps-ci et jusqu’en janvier, deux artistes raniment la « longue dame brune » avec une verve et une sensibilité qui ravissent la salle. Deux réussites. Caroline Montier chante, Catherine Pietri raconte sa vie avant la gloire. C’est magnifique.
Les chocolats suisse, belge et français ont beau être les meilleurs du monde, ils se font enfoncer par une invention dubaïote qui provoque une frénésie mondiale. Sa créatrice, une Anglo-égyptienne, avait juste une petite envie de sucré pendant sa grossesse. Et ça n'était pas du baklava