Sorties parisiennes, bons plans parisiens et autres, chroniques et réflexions sur la vie, la mort, les djeuns et la coiffure !
Les applis conversationnelles avec des « chatbots » (des robots parlants) vont-elles remplacer nos conventionnelles amours-délices-et-orgues ?
Philippe Aractingi a 60 ans, il est cinéaste-réalisateur au Liban et en France, il n’a pas le bac, mais il a la verve. Vu l’image que nous renvoie le Liban ces temps-ci, on a une folle envie d’aller l’écouter au Théâtre Essaion.
Avec un titre insolite "La nuit où Laurier Gaudreault s'est réveillé", un auteur francophone canadien tricote une intrigue familiale qui fait exploser tous les tabous.
Il y a cette chanson cavalière de Margaux Heller, « Tu veux ma viande ? », et il y a toutes celles qui tentent de se libérer du « mâle », de son jugement, de ses offenses. Ca passe par l’humour, et aussi par une prise de conscience sur les clichés de la séduction.
Le livre de Giuliano da Empoli, Grand Prix du roman de L’Académie Française, atteint les 500'000 exemplaires vendus. Question à 30 euros, le prix moyen d’une place : combien va atteindre son adaptation scénique ?
Il est impeccable, et il n’est pas le seul. « Dans les yeux de Monet » au théâtre de la Madeleine à Paris est une mise en scène chatoyante très réussie. Côté femmes, « Sarah Bernhardt » aussi : énergique et moderne avec plus de 30 personnages !
Ah, le plaisir du « live » ! Résolument modernes et ancrées dans notre vie réelle, ces deux pièces se jouent à guichets fermés à Paris. Texte, acteurs, mise en scène… tout est réussi.
Ne ratez pas ce film d’Antoine Page, où l’on suit son frère étudiant en médecine jusqu’à ses internats puis ses premiers pas de généraliste. Tout est vrai ; mais c’est si palpitant qu’on dirait un film de fiction.
Je l’ai « pratiqué » pendant plus de dix ans pour Paris Match. Alain Delon avait déjà franchi les 70 ans mais, en couverture, quelle que soit son « actu », il continuait de nous assurer d’excellentes ventes. Son charisme fonctionnait partout, au resto, dans la rue, dans les soirées… et sur papier glacé.
Surprise : un viticulteur-encaveur arnaqueur suisse vient de se faire pincer : il vendait du faux vin valaisan.